Et bien! Pour la suite dans les idées.
Tant de coïncidences!
- Le prénom du personnage principal de ce livre, plus bas en annexe : Hannah : mon prénom en hébreu à la naissance.
- Où vit-elle ? Au Québec. Dans un chalet. Ma nouvelle envoyée à un concours littéraire se passe aussi dans un chalet
- Le job du personnage ? Journaliste au Québec. Bizarre un prénom hébraïque pour une journaliste québécoise... pas dans ma génération.
- La bio du personnage principal sur Twitter? Ex-journaliste imbibée de littérature. Mon ancienne bio sur Twitter: ex-journaliste imbibée de littérature. https://www.evelyneabitbol.com/p/biograph.html
Puis un jour, quelqu’un me dit: «j’ai lu un roman, et j’ai pensé à toi à chaque page. On aurait dit que c’était toi. Tu devrais le lire. Tu me diras. C’était incroyable.»
J’ai donc lu le livre. C’était il y a quelques années, j’ai eu beaucoup de peine. Comme si, on avait pris un peu de mon âme et de ma mélancolie intérieure. Puis je m’étais dit... un jour je le rencontrerai et lui parlerai.
Puis un jour, il écrit sur Twitter: je quitterai ce pays pourri ou quelque chose du genre. Je lui ai répondu: «Pour vivre au Québec peut être? Signé : Hannah, ex-journaliste imbibée de littérature.» Je n’ai jamais eu de réponse.
Pour la petite histoire:
- Envoyé un jour une nouvelle dont vous trouverez un extrait ici. https://www.evelyneabitbol.com/search?q=Elle
à un concours littéraire en français d’une TV canadienne. La nouvelle n’a pas été retenue. Toutefois j’apprends que, parmi les membres du jury il y a une personne qui avait reçu à son chalet l’auteur français de ce livre que j’ai lu. C’est revenu à ma mémoire lorsque j’en avais fini la lecture.
Il y a d’autres coïncidences. J’arrête ici. Je préfère oublier. Mais c’est dit.
Puis, je me suis dit que, contrairement à certains auteurs, je ne m’inspire pas de la vie des autres pour écrire! Ma propre vie est celle de plusieurs chats... est suffisamment remplie dans plusieurs pays différents, pour ne pas avoir à piger ailleurs mon inspiration.
Aujourd’hui, le fait d’écrire cela me réconforte.
Je viens de le voir à la télévision française. Il vient de mettre sur pied un site pour produire et distribuer des masques. Bien! Bonne initiative. Mais pourquoi cette entrevue avec lui, pourquoi ne voit-on pas les abeilles ouvrières derrière?
Et voilà! C’était où je voulais en venir!!!
Depuis le début du confinement des femmes partout dans le monde y compris au Québec
Gaudeline Sauriol
CamilleGoyetteGingras de #CoopCouturières , en Espagne,
Emilia AranEstefi
travaillent d’arrache-pied pour produire des masques. Elle m’en a cousu deux que j’utilise en alternance. Et je pourrais lui en demander d’autres. Nous avons trouvé en marchant 5,7 km, des élastiques dans un bazar qui vend de la papeterie . Donc service essentiel.
Ces femmes couturières ont beaucoup de mérite!
Merci aux femmes, infirmières, médecins, préposées, caissières, qui se retrouvent au front!!!
Aux hommes honnêtes aussi!
Wikipedia: «Il existe trois espèces de zèbres : le zèbre des plaines, le zèbre des montagnes et le zèbre de Grévy. Le zèbre des plaines et le zèbre des montagnes appartiennent au sous-genre Hippotigris, mais le zèbre de Grévy est la seule espèce du sous-genre Dolichohippus. Ce dernier ressemble à un âne, auquel les zèbres sont étroitement liés, tandis que les deux premiers ressemblent davantage à un cheval.»