Conférence de presse de la 1ère conférence régionale sur la gouvernance : droits individuels, développement économique et progrès socioculturel
Marrakech, le 26 février 2009 – L’Institut Amadeus a organisé une conférence de presse à 18 h aujourd’hui, au Centre international des conférences de la Palmeraie de Marrakech, en présence de Mme Amina Bouayache, Présidente de l’Organisation marocaine des droits de l’Homme et de M. Malcolm Smart, directeur du programme pour l’Afrique du nord et le Moyen-Orient, Amnesty International, marquant ainsi l’ouverture de la 1ere conférence régionale sur la gouvernance.
Le vice-Président de l’Institut Amadeus, M. Mekki Lahlou, a ouvert la séance en rappelant qu’à l’heure actuelle, au niveau maghrebin certains pays font des progrès indéniables et incontestables. De grandes disparités persistent néanmoins dans la région.
M. Malcom Smart a quant à lui mis l’accent sur la situation des droits humains au Maghreb rappelant que les spécificités internes de chacun des pays sont à prendre en compte. Le coût de la non coopération avec Amnesty International est considérable. En effet, cette ONG exerce une pression sur ces états à travers des actions de lobbying à l’échelle internationale. Il a, par ailleurs, insisté sur le dialogue, clé de l’amélioration de la situation dans le domaine des droits de l’Homme et des libertés fondamentales, rappelant qu’Amnesty international n’est que le porte-voix des acteurs locaux dont le rôle est crucial sur le terrain. Au Maroc, des transformations remarquables ont été observées localement, a-t-il ajouté. Le principal défi à relever reste toutefois de faire preuve d’une plus grande tolérance notamment envers la liberté de presse et d’expression.
De son côté, Mme Amina Bouayache, Présidente de l’Organisation marocaine des droits de l’Homme, a déclaré qu’ « un travail constructif a été enclenché au Maroc et que des mesures concrètes ont été prises dans le champ des droits humains sociaux et économiques, en application des conventions internationales dont le Maroc est signataire. » Selon elle, pour conforter ce travail, la justice doit s’inscrire impérativement dans ce processus de transition démocratique.
Les débats qui auront lieu tout au long de la conférence, vendredi 27 février, ne manqueront pas de compléter et apporter un éclairage supplémentaire à ces interventions, pour se conclure par des recommandations concrètes et opérationnelles.
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Source :
Maria Alaoui, attachée de presse pour la conférence
Institut Amadeus
Tel: +212 37 67 06 28/30
Portable: 061 80 18 66
Fax: +212 37 67 06 29
www.institutamadeus.com
mariaaloui@hotmail.com
www.amadeusonline.com
Ce site a pour but de reconnecter les générations entre elles. Les textes présentés ou écrits font part des préoccupations, intérêts et contenus divers présentés par une baby-boomer et exposés pour tenter d'attirer l'attention des plus jeunes. Signé: Ex-journaliste imbibée de littérature
vendredi 27 février 2009
jeudi 19 février 2009
1ère conférence régionale sur la gouvernance : droits individuels, développement économique et progrès socioculturel
26 et 27 février 2009. Centre International des Conférences de la Palmeraie – Marrakech
Dans le cadre du cycle de réflexion intitulé « Démocratie, Droits de l’Homme, Décentralisation et Gouvernance » l’institut Amadeus organise les 26 et 27 février 2009, à Marrakech, la première conférence régionale sur la gouvernance. Se réuniront des représentants officiels des gouvernements maghrébins et européens mais également des responsables des organisations internationales, telles que la Haut Commissaire des Nations Unies pour les droits de l’Homme, Madame Navanethem Pillay, Human Rights Watch, Amnisty International, chercheurs, universitaires, journalistes et spécialistes de la question.
Par delà l’intellectualisation et la conceptualisation de la notion de gouvernance, ce premier rendez-vous est l’occasion d’observer le développement nouveau de l'action publique au Maroc sous l'impulsion de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Il permettra également d'analyser les enjeux maghrébins en matière de bonne gouvernance, les évolutions comparées de l'Algérie, de la Tunisie et du Maroc, et leur impact sur l’amélioration du tissu économique et social dans cette région. http://www.institutamadeus.com/
26 et 27 février 2009. Centre International des Conférences de la Palmeraie – Marrakech
Dans le cadre du cycle de réflexion intitulé « Démocratie, Droits de l’Homme, Décentralisation et Gouvernance » l’institut Amadeus organise les 26 et 27 février 2009, à Marrakech, la première conférence régionale sur la gouvernance. Se réuniront des représentants officiels des gouvernements maghrébins et européens mais également des responsables des organisations internationales, telles que la Haut Commissaire des Nations Unies pour les droits de l’Homme, Madame Navanethem Pillay, Human Rights Watch, Amnisty International, chercheurs, universitaires, journalistes et spécialistes de la question.
Par delà l’intellectualisation et la conceptualisation de la notion de gouvernance, ce premier rendez-vous est l’occasion d’observer le développement nouveau de l'action publique au Maroc sous l'impulsion de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Il permettra également d'analyser les enjeux maghrébins en matière de bonne gouvernance, les évolutions comparées de l'Algérie, de la Tunisie et du Maroc, et leur impact sur l’amélioration du tissu économique et social dans cette région. http://www.institutamadeus.com/
mardi 10 février 2009
26 et 27 février 2009 - Marrakech
26 et 27 Février 2009 – Marrakech
Mis à jour le 29 mars 2009
Dans le cadre du cycle de réflexion intitulé « Démocratie, Droits de l’Homme Décentralisation et Gouvernance», l’Institut Amadeus a organisé, les 26 et 27 février 2009, à Marrakech, la première conférence régionale sur la gouvernance qui a traité des thèmes des droits individuels, du développement économique ainsi que du progrès socioculturel.
Ont participé à cette conférence de nombreuses personnalités, dont des ministres et hauts responsables maghrébins mais également européens, des représentants des Nations Unies, notamment Madame Navanethem Pillay, Haut Commissaire des Nations Unies pour les Droits de l’Homme, des représentants de l’Union européenne, des responsables d’ONGs telles qu’ Amnesty International et Human Right Watch ou d’organismes relatifs aux Droits de l’Homme et d’institutions diverses, des universitaires, des spécialistes et des journalistes.
Cette première conférence était un séminaire de lancement d’un cycle de réflexion traitant de la bonne gouvernance.
En effet, le cycle de réflexion est constitué d’un séminaire de lancement, introduction aux problématiques à traiter, de quatre workshops ou groupes de travail ainsi que d’une conférence de clôture.
L’objectif souhaité à la fin de chaque workshop consiste à rédiger des recommandations visant à la préparation d’un plan d’action et de lobbying auprès des responsables et décideurs au Maroc.
À partir des dernières conclusions des workshops, organisés de façon à déboucher sur une production intellectuelle de qualité, un livre blanc ou Cahier d’Amadeus sera publié.
Par ailleurs, cette conférence de présentation du cycle de réflexion sur la bonne gouvernance s'est déroulée en quatre panels de façon à décortiquer ce thème sous tous ses angles.
Le premier panel consacré à la gouvernance politique a traité de la dynamique des processus de réformes au Maghreb ainsi que de l’état des Droits de l’Homme et des libertés fondamentales dans cette région. A l’endroit de ce panel, seront donc évoqués les Droits de l’Homme en tant que véritable paradigme, facilitateur des relations internationales.
Également abordées, les questions de l’instrumentalisation des droits civils et politiques, la question de la réforme de l’Etat au Maghreb en fonction des besoins de la société, ainsi que le problème de la participation citoyenne.
Un second panel dédié à l’aspect économique de la bonne gouvernance a discuté des instruments de politique économique à choisir afin d’assurer une meilleure gouvernance économique ainsi qu’un développement équilibré et durable. L’environnement politique et économique propice à la lutte contre la pauvreté et au renforcement du Développement Humain Durable (DHD) ainsi que la question ayant trait à la possibilité d’engager un processus de gouvernance économique régionale, seront également évoqués.
La gouvernance sociale était au cœur des débats du troisième panel, ainsi que l'enjeu des thématiques telles que la diversité culturelle, la fragilité sociale, la pauvreté, l’exclusion, la promotion des droits de la femme, le passé et le présent des Droits de l’Homme ainsi que la notion de droits humains.
Entre autres, il a été également question de se pencher sur des problèmes tels que les politiques publiques à enclencher pour permettre l’inclusion sociale multidimensionnelle (secteur politique, culturelle, social et économique).
Enfin, le quatrième panel sur la gouvernance territoriale a exposé des thèmes relatifs à la régionalisation, à la question de l’autonomie et à la gestion spatiale des territoires. Il a été question du cadre de réflexions sur les systèmes de gouvernance favorisant les politiques de décentralisation, la participation politique, la subsidiarité, l’autonomie comme une forme associée à l’autodétermination, et la conservation ainsi que le transfert de gestion.
Mais il traitera aussi sur les outils de gouvernance territoriale à privilégier, de l’articulation à élaborer entre les stratégies de développement durable et les projets d'aménagement du territoire, des conditions nécessaires pour faire émerger des politiques territoriales de développement durable et de la place des libertés individuelles et collectives dans un régime d’autonomie.
Ainsi, cet événement est l’occasion de réunir des représentant d’Etat, des représentants de la société civile, des chercheurs et spécialistes qui s’intéressent à la gouvernance démocratique et aux thèmes qui sont liés à cette notion. Cette première conférence régionale, organisée par l’Institut Amadeus, a permis de confronter la diversité des modes de gouvernance dans la région du Maghreb notamment sous l’angle des Droits de l’Homme et des libertés fondamentales afin d’analyser les effets de leurs évolutions sur l’amélioration des situations sociales.
Cette conférence qui a débouché sur “l’Engagement de Marrakech” sur la gouvernance démocratique, point de départ du troisième cycle de réflexion de l’Institut Amadeus, constitue le véritable prodrome d’une série de séances de travail ou workshops visant à produire des recommandations concrètes pour tendre vers des progrès significatifs en matière de bonne gouvernance dans la région du Maghreb.
A titre de directrice scientifique de cette conférence, je vous invite à lire la déclaration finale sur le site de l'Institut Amadeus. Les engagements de Marrakech
Mis à jour le 29 mars 2009
Dans le cadre du cycle de réflexion intitulé « Démocratie, Droits de l’Homme Décentralisation et Gouvernance», l’Institut Amadeus a organisé, les 26 et 27 février 2009, à Marrakech, la première conférence régionale sur la gouvernance qui a traité des thèmes des droits individuels, du développement économique ainsi que du progrès socioculturel.
Ont participé à cette conférence de nombreuses personnalités, dont des ministres et hauts responsables maghrébins mais également européens, des représentants des Nations Unies, notamment Madame Navanethem Pillay, Haut Commissaire des Nations Unies pour les Droits de l’Homme, des représentants de l’Union européenne, des responsables d’ONGs telles qu’ Amnesty International et Human Right Watch ou d’organismes relatifs aux Droits de l’Homme et d’institutions diverses, des universitaires, des spécialistes et des journalistes.
Cette première conférence était un séminaire de lancement d’un cycle de réflexion traitant de la bonne gouvernance.
En effet, le cycle de réflexion est constitué d’un séminaire de lancement, introduction aux problématiques à traiter, de quatre workshops ou groupes de travail ainsi que d’une conférence de clôture.
L’objectif souhaité à la fin de chaque workshop consiste à rédiger des recommandations visant à la préparation d’un plan d’action et de lobbying auprès des responsables et décideurs au Maroc.
À partir des dernières conclusions des workshops, organisés de façon à déboucher sur une production intellectuelle de qualité, un livre blanc ou Cahier d’Amadeus sera publié.
Par ailleurs, cette conférence de présentation du cycle de réflexion sur la bonne gouvernance s'est déroulée en quatre panels de façon à décortiquer ce thème sous tous ses angles.
Le premier panel consacré à la gouvernance politique a traité de la dynamique des processus de réformes au Maghreb ainsi que de l’état des Droits de l’Homme et des libertés fondamentales dans cette région. A l’endroit de ce panel, seront donc évoqués les Droits de l’Homme en tant que véritable paradigme, facilitateur des relations internationales.
Également abordées, les questions de l’instrumentalisation des droits civils et politiques, la question de la réforme de l’Etat au Maghreb en fonction des besoins de la société, ainsi que le problème de la participation citoyenne.
Un second panel dédié à l’aspect économique de la bonne gouvernance a discuté des instruments de politique économique à choisir afin d’assurer une meilleure gouvernance économique ainsi qu’un développement équilibré et durable. L’environnement politique et économique propice à la lutte contre la pauvreté et au renforcement du Développement Humain Durable (DHD) ainsi que la question ayant trait à la possibilité d’engager un processus de gouvernance économique régionale, seront également évoqués.
La gouvernance sociale était au cœur des débats du troisième panel, ainsi que l'enjeu des thématiques telles que la diversité culturelle, la fragilité sociale, la pauvreté, l’exclusion, la promotion des droits de la femme, le passé et le présent des Droits de l’Homme ainsi que la notion de droits humains.
Entre autres, il a été également question de se pencher sur des problèmes tels que les politiques publiques à enclencher pour permettre l’inclusion sociale multidimensionnelle (secteur politique, culturelle, social et économique).
Enfin, le quatrième panel sur la gouvernance territoriale a exposé des thèmes relatifs à la régionalisation, à la question de l’autonomie et à la gestion spatiale des territoires. Il a été question du cadre de réflexions sur les systèmes de gouvernance favorisant les politiques de décentralisation, la participation politique, la subsidiarité, l’autonomie comme une forme associée à l’autodétermination, et la conservation ainsi que le transfert de gestion.
Mais il traitera aussi sur les outils de gouvernance territoriale à privilégier, de l’articulation à élaborer entre les stratégies de développement durable et les projets d'aménagement du territoire, des conditions nécessaires pour faire émerger des politiques territoriales de développement durable et de la place des libertés individuelles et collectives dans un régime d’autonomie.
Ainsi, cet événement est l’occasion de réunir des représentant d’Etat, des représentants de la société civile, des chercheurs et spécialistes qui s’intéressent à la gouvernance démocratique et aux thèmes qui sont liés à cette notion. Cette première conférence régionale, organisée par l’Institut Amadeus, a permis de confronter la diversité des modes de gouvernance dans la région du Maghreb notamment sous l’angle des Droits de l’Homme et des libertés fondamentales afin d’analyser les effets de leurs évolutions sur l’amélioration des situations sociales.
Cette conférence qui a débouché sur “l’Engagement de Marrakech” sur la gouvernance démocratique, point de départ du troisième cycle de réflexion de l’Institut Amadeus, constitue le véritable prodrome d’une série de séances de travail ou workshops visant à produire des recommandations concrètes pour tendre vers des progrès significatifs en matière de bonne gouvernance dans la région du Maghreb.
A titre de directrice scientifique de cette conférence, je vous invite à lire la déclaration finale sur le site de l'Institut Amadeus. Les engagements de Marrakech
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