Ce site a pour but de reconnecter les générations entre elles. Les textes présentés ou écrits font part des préoccupations, intérêts et contenus divers présentés par une baby-boomer et exposés pour tenter d'attirer l'attention des plus jeunes.
Signé: Journaliste imbibée de littérature
Le Grand Prix Média Mosaïque de la diversité, le Lys Politique, m’a été remis ce soir par Louise Harel en remplacement de Valérie Plante, mairesse de Montréal, qui l’a reçu l’année dernière.
Mon intervention improvisée car je n'avais rien préparé :
Je suis ravie.
Il est toujours impressionnant de recevoir une reconnaissance par ses pairs, par ceux et celles qui gravitent dans les mêmes sphères, plutôt que par des inconnus.
C’est un très grand privilège de travailler pour la diversité et de mettre en évidence le besoin de se connaître et de se reconnaître au Québec.
Non. Je ne me présente pas aux prochaines élections. Je tiens à remercier tous ceux et celles qui m’ont encouragée à me présenter pour les prochaines élections lorsque j’ai enclenché une réflexion. Sur Facebook 284 et 65 partages plus bas voir la capture d’écran même si la photo est hich! Blogue vu par 252 998www.evelyneabitbol.com.
Remercier aussi ceux qui ont manifesté leur déception de mon retrait, en privé, par courriel, par téléphone ou en personne sur le terrain. Moi aussi 😍.
Je viens de lire, il y a quelques minutes, les commentaires sous le texte de Radio-Canada, chose que je n’avais pas fait jusqu’à maintenant.
Intéressant comme certains réduisent notre apport au Québec au fait d’être née ailleurs (à Casablanca) ou à notre présumée religion. D’autant que je ne suis pas pratiquante. Je suis fière d’être marocaine, née dans une famille de confession juive qui a forgé mon âme d’humaniste / universaliste.
Je suis très fière de mon apport au Québec où je vis depuis mon adolescence.
Fière d’avoir étudié à l’UQAM, d’avoir fondé une famille francophone malgré le fait d’avoir été obligée de fréquenter une école anglaise, d’avoir des enfants souverainistes, d’avoir occupé des postes professionnels éclectiques, parce que je suis une curieuse née que j’ai un constant besoin de stimuli intellectuels, fière d’avoir côtoyé de grands hommes et femmes leaders du Québec qui m’ont servi de modèles (trop nombreux/nombreuses pour les nommer) et fière enfin d’occuper le poste de conseillère spéciale à la diversité du futur Premier Ministre du Québec, Jean-François Lisée
Ensaf Haidar, wife of the jailed Saudi Arabian blogger Raif Badawi, shows a portrait of her husband as he is awarded with the Sakharov Prize, on Dec. 16, 2015 in Strasbourg, France.
Born one year apart, these millennials have given expression to the vision and values of a younger generation, one that is empowered by the digital age, implicated in a globalizing world and impervious to the religious orthodoxy of some clerical elite. Lire la suite
« Nous voulons mener des vies normales, des vies où notre religion et nos traditions se traduisent en tolérance. »
« Pour moi, le libéralisme signifie simplement vivre et laisser vivre. C'est un slogan superbe. »
Qui aurait pu imaginer que ces phrases si conciliantes auraient des conséquences si opposées?
Pourtant, en Arabie saoudite, l'auteur de la première affirmation est considéré comme un réformateur, tandis que l'autre est harcelé et pris pour un radical.
C’est le prince héritier d'Arabie saoudite, Mohammed Ben Salman (MBS), qui a déclaré la première; et Raif Badawi, blogueur saoudien emprisonné, la seconde.
C'était il y a cinq ans! Le 17 juin 2012, Raif Badawi perdait son passeport, ses papiers d'identité et était emprisonné en Arabie Saoudite. Exactement un an après que sa famille, Ensaf, les enfants, Najwa, Doudi et Miriyam avaient trouvé refuge en Égypte puis au Liban.
En date du 17 juin 2017, les enfants n'ont pas vu leur père depuis plus de six ans.
Le crime dont on accuse le père des enfants est celui d'avoir insulté l'Islam par voie électronique.
Réseau libéral saoudien Après le printemps arabe, son blogue, le Réseau des libéraux saoudiens, devenu par la suite le Réseau libéral saoudien, suivi par des millions de personnes dans le monde arabe, était devenu l'espace où les jeunes et les personnes épris de justice et de paix se retrouvaient pour débattre des questions de liberté.
Sherbrooke - Québec Au mois d'octobre 2013, en pleine soirée d'Halloween, Ensaf et les enfants débarquaient à Sherbrooke au Québec au milieu des monstres, des princesses, des grenouilles et des crapauds transformés en princes, qui déambulaient dans les rues de la ville.
Depuis, ils y vivent heureux entourés d'une famille qu'ils se sont choisie, mais au milieu de laquelle il manque cruellement une personne : l'époux et père des enfants, Raif.
Non, je n'ai pas manifesté hier. Vous m'avez demandé en privé où me rejoindre et bien.
Je n'ai pas manifesté pour plusieurs raisons: Je n'ai jamais vu de manifestations organisées pour hurler l'horreur pour les 219 filles enlevées en 2014 par Boko Haram, pour les centaines de milliers de réfugiés syriens (la plupart des femmes et des enfants), les 10 000 morts et 40 000 blessés au Yemen, pour les filles et les femmes décapitées en Arabie saoudite, en Iran, pour la centaine de journalistes emprisonnés en Turquie, les jeunes manifestants emprisonnés en Arabie saoudite depuis plusieurs années alors qu'ils étaient mineurs, les décapités de Bahrein, les homosexuels jetés du haut des immeubles ou décapités, etc.
DOUBLE RECONNAISSANCE À L'ÉTRANGER POUR CLAUDINE BERTRAND
Dommage qu'au Québec nous ne parlons pas de littérature ou si peu! Lire c'est vivre plus!
Nous ne parlons pas des poètes, ou si peu.
Nous n'accordons pas d'espace à la poésie ou si peu!
Ces espaces sont-ils réservés à un cercle fermé? Qui s'auto-congratule sans s'ouvrir aux autres ? Je me suis tant posée cette question depuis tellement d'années. En suivant l'actualité littéraire ici et ailleurs.
L'identité se définit aussi par sa culture, sa littérature, sa poésie et par leurs figures de proue.