Ce poème dédié aux jeunes filles qui souffrent d'asphyxie parce qu'on leur impose de vivre autrement qu'elles le souhaiteraient.
Aux filles Shafia, à la première femme, à Amina (Tunisie) et à toutes celles qui se sentent incomprises et qui ne voient pas poindre la lumière au bout de leur souffrance.
La violence est le pain quotidien des fanatiques religieux. Toutes religions confondues. Cessons de les nourrir.