Charlotte Salomon

Crédit photo : Stéphane de Sakytin/AFP Photo tirée du texte 

Le Goncourt des Lycéens 2014

Bouleversante Charlotte.

Étonnante écriture saccadée.
Comme le bruit de pas résonnant.
Le bruit lourd...  des bottes des Allemands sur le pavé.

Étonnants comme les romans parus les derniers mois s'assemblent et se ressemblent.
On relit l'histoire.
On revit un personnage. Ou un moment du passé.
En filigrane une passion amoureuse.
"Où est la vie? Où est le théâtre?
Qui peut connaître la vérité?"

J'aurais voulu que la vie de Charlotte et que son histoire se poursuive.
Au-delà du livre.
Qu'elle soit là.
Toujours vivante.

Qu'on nous dise que ce n'est que fiction.

Qu'en réalité, elle est toujours vivante.

Lu en 24 h.
La googler ensuite: Charlotte Salomon.

Découvrir ses peintures si fines.
Lu à son propos. Après la fin... de la lecture. Volontairement.
Des images fines, ourlées.
Quel talent délicat!

Lu ensuite à propos de l'auteur David Foenkinos.
Quel talent aussi délicat!
Écriture dentelle.  

Charlotte vit.  

LE JARDIN D'ÉDEN

Quand la réalité dépasse la fiction et que notre pensée s’attarde puis se fixe, trois mots viennent à l’esprit : souffrance, violence ou naïveté. Plus bas dans ce texte deux portions de réalité.

Jeudi 15 mai 2014. Deux films étaient à l’horaire de l’ouverture du Festival du cinéma israélien de Montréal - 9e édition.
Les films sont sous-titrés en français contrairement à la bande annonce plus bas. 

 Le premier film, Le Jardin d’Éden … 

est un joli film d’eau qui se passe autour de Gan Hashlosha, un des parcs les plus populaires en Israël. Dans ce parc, une source est aménagée; 500 000 visiteurs viennent s’y baigner chaque année. Les saisons se déroulent au gré des aveux de ceux qui y travaillent ou de ceux qui viennent se ressourcer ou se purifier. C’est selon.